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Découvertes en épigénétique

Le vécu traumatique est visible sur nos gènes.

Jusqu’aux récentes découvertes en épigénétique, nous ne pouvions que constater une corrélation entre un vécu traumatisant et le développement de problème psychique ou physique.

Désormais, cela peut se lire au microscope.

Cette avancée de la science permet de mettre en lumière le fait que notre vécu modifie la chimie même de nos cellules.

L’ADN ne se modifie pas. Ce qui se modifie, c’est la manière dont le corps va lire les informations qu’il contient.

Ainsi, par exemple, si l’on a une information “cheveux blonds” dans son ADN, mais que nos cheveux deviennent blancs, c’est que l’information de couleur devient illisible. 

Et l’on constate que le vécu des générations précédentes impactent l’expression des gènes des générations futures.

Si les grands-parents ont vécu un stress lié à un manque de nourriture, l’expression des gènes sera modifiée chez les générations suivantes. Pouvant entraîner un élan de stockage dans le corps et des problèmes de surpoids chez les descendant.es.

Et ce mécanisme est un mécanisme épigénétique. C’est-à-dire qu’il peut arrêter de se transmettre dès que le traumatisme inital est apaisé.

Pour en savoir plus, voici un sujet de l’émission CQFD de la RTS du 22 juin 2023.

Découvrir ce qui se cache derrière les autres portes du calendrier ?

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