Menu Fermer

Décodage des problèmes de hanches, chevilles et genoux

articulations

Les organes de structure

Os, muscles, tendons, ligaments: ces tissus nous donnent notre structure et nous permettent de bouger, de gagner des affrontements, de fuir.

Pourquoi peuvent-ils développer des maladies? Pour répondre, je vous invite à considérer la maladie comme un fonctionnement d’urgence de notre corps. 

Un ressenti de dévalorisation

Notre système locomoteur est en lien direct avec la perception de notre propre valeur. 

Le thème de la valeur implique celui de la dévalorisation. Une maladie du système locomoteur parle donc d’une importante dévalorisation vécue par la personne.

Une atteinte des articulations parle plus précisément d’une dévalorisation vécue par rapport à un geste, effectué ou souhaité.

Chacune de nos articulations permet un geste précis: un geste réel comme écrire une lettre. Ou un geste symbolique comme plier devant une autorité.

Réel ou symbolique, notre cerveau ne fait réellement pas la différence.

L’articulation touchée est en lien précis avec ce qui a été vécu par la personne, avec le geste impliqué: le poignet pour l’écriture, le genou pour plier, par exemple.

Une solution bio-logique !

Si un geste a été vécu comme dévalorisant, et si aucune solution consciente n’a pu être trouvée, le corps peut prendre cela en charge en bloquant l’articulation. 

C’est une solution d’urgence qui empêche de reproduire ou d’effectuer le geste conflictuel. La situation conflictuelle est ainsi mise en pause.

Puisque la personne ne peut de toute façon pas effectuer ce geste, la masse conflictuelle baisse. C’est une solution, la seule qui a été possible.

Les trois articulations de la jambe

Hanche, genou, cheville: ces articulations nous permettent de tenir débout, et aussi de bouger nos jambes pour avancer, sauter, esquiver, courir.

Les jambes ont comme thème de fond le déplacement. Encore une fois, réel ou symbolique, comme monter en grade ou être promu. 

Tout mouvement commence par la hanche, est transmis par le genou, et complété par la cheville.

La hanche

Elle initie le mouvement. Cela nous parle de l’intention de faire un de ne pas faire. Le mouvement est voulu mais pas encore initié.

La hanche permet aussi de s’opposer, et peut mettre en matière des ressentis liés à la sexualité. En combinant les deux pistes, on a des thématiques d’opposition autour de la sexualité.

Le genou

Il met  en matière le mouvement initié par la hanche de façon plus précise.

Des pathologies du genou peuvent parler d’un changement de direction qui a été décidé mais pas abouti.

Le genou incarne aussi les symboliques de souplesse, d’humilité, d’obéissance, de plier. 

Parfois il réagit à une dévalorisation liée à une défaite sportive, par exemple. 

Le thème de l’autorité peut être aussi être là: plier devant le père réel ou symbolique, par exemple.

Si le genou se bloque, cela empêche de continuer le changement de direction conflictuel, ou de plier, de se soumettre.

La cheville

Elle permet l’appui et le mouvement fin, le contact précis avec le sol. Symboliquement, c’est la mise en matière de l’intention de mouvement, du changement de direction. La décision prise est traduite en action concrète.

Il y a -t-il encore un doute, un regret? Est-ce vraiment le bon chemin?

Une cheville bloquée empêche de terminer le changement de direction.

 

Les différents tissus des organes de structure

Le tissu précis touché donne aussi des informations. 

Articulation : dévalorisation dans le geste

Tendons : dévalorisation vécue par rapport au futur. Par exemple“Je n’y arriverai pas”.

Ligaments (qui lient deux os) : dévalorisation vécue entre deux valeurs, de se sentir écartelé. 

Muscle : impuissance

Os : dévalorisation très profonde

Une entorse peut être entendue comme “être en tort”. Cela parle d’une dévalorisation vécue comme “j’ai eu / j’aurais  tort de faire ce geste”.

Identifier la problématique pour la traiter

Tous ces éléments permettent, en séance, d’identifier ce qu’une maladie a pris en charge par rapport au vécu de la personne, pour qu’elle puisse l’exprimer, le nommer et, si souhaité, le transformer.

Ce qui est important n’est pas la situation en soi, mais comment la personne la vit.

Je rappelle que, s’il y a des symboliques universelles, chacun a ses propres symboliques, entre autres culturelles et familiales. 

C’est pour cela qu’un entretien de décodage passe obligatoirement par l’écoute de la personne, qui pourra ainsi faire ses propres liens et son processus thérapeutique à son rythme.

 

Venir en thérapie

Vous aimeriez faire une séance en Décodage psychobiologique pour traiter un symptôme ?

En savoir plus sur les possibilités de séances et les conditions :

Les thérapeutes