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Définition de l’asthme

L’asthme est une affection chronique qui se caractérise par une inflammation des voies aériennes. 

On retrouve, comme manifestations :

  • Une production de mucus
  • Un rétrécissement des muscles qui entourent les voies aériennes
  • Une augmentation de la sensibilité des voies aériennes

Le calibre des bronches se réduisant, l’air arrive plus difficilement dans les alvéoles pulmonaires. La personne est essoufflée, la respiration peut être sifflante à l’expiration et il lui est difficile d’inspirer et d’expirer profondément.

L’asthme peut être provoqué par une réaction allergique à un agent extérieur ou survenir sans allergène externe, par hyperactivité des bronches.

Survenant par crises, les personnes asthmatiques retrouvent une respiration tout à fait normale entre les crises.

Une question de territoire

L’asthme fait partie des pathologies liées au marquage de territoire auditif et aérien.

Auditif, car les sons produits lors de la crise d’asthme ressemblent aux râles d’un animal effrayant. Ils ont pour fonction de faire peur au prédateur.

Aérien, car il est question d’air. D’air inspiré et d’air expiré. A chaque inspiration, l’individu fait entrer du territoire extérieur à l’intérieur de lui. En cas de peur, nous avons comme réflexe archaïque d’inspirer rapidement de l’air et de bloquer ensuite la respiration pour survivre le plus longtemps possible.
Mais l’air est aussi associé au sentiment de liberté. « Se retrouver à l’air libre ».

En prenant ces deux éléments (air + son) et en les reliant à « ce qui peut causer un conflit biologique », il est possible de poser ces quelques hypothèses pour comprendre pourquoi l’asthme devient une « solution biologique » pour l’organisme :

  • Peur pour son territoire qui est envahi (besoin d’air) et tentative d’effrayer l’envahisseur considéré comme un ennemi (émission de sons).

  • Sentiment d’être piégé, emprisonné, contraint par une situation dans laquelle il n’y a pas d’issue possible et où la personne ne s’autorise pas à crier son besoin de liberté et d’espace. Ce sentiment d’emprisonnement provoque l’étouffement. Les sons sont une tentative de s’en extraire.

  • Peur de mourir par manque d’oxygène.
    Le manque d’air peut être causé par la présence d’émanations dangereuses (gaz, produits toxiques). Ou par la présence d’eau. (La cause première est souvent à rechercher dans la généalogie, dans l’histoire de la famille. Mémoires de guerre, d’incendie, de noyade, …)

    Si je peux m’asphyxier en respirant, il est donc vital d’éviter les échanges gazeux avec l’extérieur. L’air du dedans est plus sûr que l’air du dehors. Ainsi, la personne asthmatique va réduire tant son expiration que son inspiration. Cette solution n’est évidemment possible qu’à très court terme, raison pour laquelle l’asthme peut avoir une issue fatale en cas de crise trop importante.

    Si la personne souffre d’asthme sec (sans production de mucus), le facteur déclenchant serait à rechercher en lien avec un gaz ou une substance respirée. Il y aurait peur de mourir gazé ou empoisonné par l’air.

    Si la personne souffre d’asthme humide (avec production de mucus), le facteur déclenchant serait à rechercher dans un problème avec de l’eau. Il y aurait peur de mourir noyé.

    L’asthme démarre lorsque la personne s’expose, dans son quotidien à quelque chose qui rappelle le conflit originel vécu par cette autre personne de sa lignée.

    Les bruits produits par la crise d’asthme serviront alors à rassurer la personne et/ou son entourage qu’elle est toujours en vie.

Comment retrouver le conflit de base ?

Si un enfant commence à présenter de l’asthme, il est important de prendre en considération ce qu’il était en train de vivre peu avant le déclenchement de la première crise en réfléchissant à ce qui a pu envahir son territoire et qui lui causait de la peur d’étouffer, à ce moment très précis.

Si l’enfant présentait de l’eczéma dans sa petite enfance avant que l’asthme ne commence, il se pourrait que le conflit soit en lien avec une séparation. Par exemple, une séparation conflictuelle des parents avant ou après sa naissance, mais également fausse couche, IVG ou mort d’un bébé par arrêt respiratoire.

L’adulte asthmatique se posera les mêmes questions en remontant à la situation vécue lors de la première crise, si possible. Ou en recherchant le dénominateur commun à toutes les crises.

Pour que l’asthme ne soit plus utilisé par le corps comme une réaction à ce qui étouffe, la personne doit être absolument certaine que l’envahisseur (une personne, une situation, un gaz, de l’eau, …) n’est plus là et qu’elle est en sécurité.
Soit en mettant en place ce qu’il faut pour que la personne puisse répondre à son besoin de sécurité.
Soit en travaillant la situation traumatique en thérapie, pour être capable ensuite de trouver une solution de dépassement et reprendre sa place en sécurité.

Découvrir ce qui se cache derrière les autres portes du calendrier ?

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One response

  1. Animaux symboles : les marocains ont une tortue dans leur cour, sensée soulager (à sa vue, apaisante) les crises d’asthme. Les chevaux équilibrent la libido d’où le goût actuel, pour les jeunes filles, des sports équestres (il y a un roi sur un cheval mais pas de reine, dans les tarots de Marseille !) … les oiseaux migrateurs et les pigeons soulagent les crises de sinusite (repères = “re-père”)

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