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Les tendons sont des fibres qui relient les muscles aux os. Leur rôle est de permettre à l’os de bouger sous l’impulsion des muscles.

Prenons l’exemple d’une marionnette. Une main donne l’impulsion à des fils qui permettent de mettre en mouvement la marionnette. Et ces fils sont, dans notre corps, les tendons.

 

 

 

La tendinite est une inflammation du tendon. Elle est généralement causée par le frottement des tendons contre l’os. A force de frottement, les fibres s’abîment et peuvent aller jusqu’à la rupture.

Au niveau psychobiologique :

Le muscle permet la performance dans l’action. Il symbolise la force.

L’os, quant à lui, symbolise notre valeur et nos valeurs. C’est la structure profonde de l’être humain. Ce qui lui permet de se tenir debout, ce qui lui donne sa solidité. Une profond sentiment de dévalorisation pourra avoir des conséquences osseuses.

Les tendons, eux, relient donc symboliquement la force à la valeur. Et il arrive que, justement, nous nous sentions écartelés entre nos actions et nos valeurs.

Le mouvement, pensé et initié par le cerveau, pourra-t-il se faire ? Les tendons auront-ils la solidité et la souplesse nécessaire pour mobiliser l’os ? En transposé psychique, cela questionne sur notre capacité à faire ce que l’on envisage pour le futur. Ce vers quoi « nous tendons». Comment avoir le meilleur geste ? Le geste le plus parfait dans ce que nous entreprenons ou souhaitons entreprendre ?

La localisation permet d’affiner le décodage

La dévalorisation ressentie sera directement en lien avec la partie du corps qui est touchée.

En voici quelques exemples :

  • Le tendon d’Achille : ce tendon permet de se propulser en avant. Il symbolise le fait de démarrer quelque chose, de se mettre en route pour partir, de s’élever. Par exemple, il peut être atteint chez le sportif qui ne parvient pas à sauter assez haut, chez la personne qui veut monter une entreprise mais qui n’y arrive pas, ou chez la personne qui a tout le temps l’envie ou le devoir de partir et vit « le baluchon sur l’épaule » sans parvenir à se fixer quelque part.
  • Tendon du coude : dévalorisation liée au travail. Au fait de parvenir à atteindre ses objectifs, à devoir « jouer des coudes ».
  • Tendon à l’épaule : dévalorisation liée au fait de devoir aider quelqu’un que l’on considère plus faible que soi (un enfant, une personne âgée, un animal).
  • Tendon de la hanche : conflit lié à l’opposition. Je veux faire bouger autrui ou alors je résiste à la pression d’autrui. Le conflit peut également être lié à un ressenti de frustration sexuelle.
  • Tendon du poignet: dévalorisation liée à une tâche manuelle (travail, écriture, …). Sentiment de maladresse.

La douleur préserve de faire le geste qui dévalorise ou est en conflit.

Lorsque l’on a mal, on réduit les mouvements. Ainsi, on s’empêche de faire ce qui justement nous met en conflit, en contradiction entre nos projets et nos valeurs. Mais cela peut également générer un stress supplémentaire et provoquer ce que l’on nomme un conflit verrouillant. (« je voudrais pouvoir faire un geste parfait, mais la douleur m’en empêche et cela augmente mon conflit de dévalorisation qui augmente alors l’atteinte au tendon, etc.). Raison pour laquelle la douleur peut-être longue à soigner, récidiver, devenir chronique.

Quelle solution ?

Si vous avez des problématiques liées à la performance et que cela affecte vos tendons, cela renvoie à la vision que vous avez de vous-même, de vos capacités, de votre valeur. D’où vient ce besoin de performance ? Pourquoi vous mettez-vous une telle pression de réussite ? Vis-à-vis de quoi êtes vous tiraillé entre vos désirs d’action et vos valeurs ? Entre votre devoir et vos aspirations ?

Et qu’est-ce qui vous permettrait de vivre cette situation autrement ? Il convient alors de mettre la solution en pratique afin que cesse le processus d’évitement dans lequel votre tendinite vous enferme.

Bibliographie :

Asbl Téligaté (2007). Dictionnaire des codes biologiques des maladies. Bruxelles

Flèche, C. (2012) Décodage biologique des maladies : L’encyclopédie des correspondances symptômes-émotions. Souffle d’Or.

 

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9 Responses

  1. Merci à vous pour ce décodage concernant le tendinite. J’en ai une localisée dans l’épaule gauche. Depuis 6 mois. Diffusion vers le cou et les bras. Sans doute en lien avec frustration affective liée à attentes, déception, solitude. Comment pourrais-je régler le problème s’il vous plaît ? Merci beaucoup. Luc

    • Bonjour.
      Difficle de répondre au “comment”. Pour régler le problème il faut que ce qui l’occasionne n’existe plus, cesse. Soit, sortir de cette frustration, de cette déception, de ces attentes.
      Parfois, il est utile de se faire aider par un-e thérapeute en décodage pour avancer.
      Bonne suite à vous et mes meilleurs voeux.

  2. Quelle révélation pour la tendinite de l epaule c est tellement juste. Exactement la situation vécue au travail et le fait de culpabiliser de ne plus pouvoir faire les mouvements… incroyable. Merci pour ce décodage. J en avais lu d autre sur d autres sites mais le vôtre touche juste.

    • Bonjour,
      Cet article me parle beaucoup et je comprends mieux pourquoi je souffre de cette pathologie depuis des mois. Par contre, je n’ai pas “la solution guérisseuse”.
      On m’a diagnostiquée (hier) une tendinite au niveau de trois tendons au pied gauche (irm) et sans doute pied droit aussi qui est également douloureux. Je ne suis pas sportive et je travaille dans l’administratif. Donc, pas de gestes répétés.
      Depuis peu, je souffre également de l’épaule gauche.
      En lisant votre article, je comprends que mes problèmes aux pieds ont débuté lors d’un changement de carrière mais pour la même boîte où je me sens en conflit entre l’humanité, le respect et les règles (pondues par nos chers ministres) . Ce changement a été pire, car encore plus de conflits en moi en plus d une nouvelle pression. J’ai malgré tout, fait mon possible dans ce job en étant toujours tiraillée, par cette nouvelle direction qui me répétait “prends soins de toi et fais ça pour aujourd’hui voire hier”.
      Je suis également mère célibataire de 2 ados (je vous laisse imaginer)
      Depuis janvier, je suis en arrêt pour burn out.
      Jusqu’à il y a un an, je marchais régulièrement en forêt pour mon bien-être. Ça me permettait de tenir le coup. Depuis, je ne prends plus le temps de le faire. Je me cache derrières ces douleurs pour ne plus faire cette activité qui m’apportait pourtant que du bon. Bref, toujours des excuses, pour ne pas aller mieux.
      Aujourd’hui, pour des raisons financières et familiales, je devrais reprendre au plus vite le boulot (depuis j ai cette douleur à l épaule).
      J’ai la possibilité de pouvoir reprendre ma précédente fonction mais, et même si j’ai des pistes pour que cela se passe au mieux, ce conflit interne sera toujours là. En plus d’un sentiment d’échec. Je me rends compte, que je n’ai toujours pas récupérée toutes mes facultés et que l’épuisement est toujours présent. Nouveau conflit, donc.
      Je n’arrive pas à déterminer ce que je veux faire dans la vie. C est le flou total.
      Je me fais aider et je sais que cela prendra du temps. C’est difficile de trouver les bonnes réponses surtout quand il y a tant de tourbillons de pensées dans ma tête.
      Alors merci d’avoir mis des mots sur cette maladie et je comprends que tout est là pour me dire STOP ! Et bien plus encore 😊

      • Bonjour et merci pour votre témoignage.

        Je vous encourage à aller lire également le décodage du l’épaule gelée, qui se trouve dans la liste de mes décodages. Je pense que vous pourrez trouver également des pistes, même si vous ne souffrez peut-être pas exactement de cela.

        Bonne suite à vous, pour aller de l’avant, là où ça sera juste pour vous.

  3. Bonjour, j’ai une douleur aiguë depuis hier, apparue en descendant l’escalier, comme une tendinite au niveau du genou gauche. L’article ne parle pas du genou, pouvez vous me renseigner sur une tendinite à ce niveau là s’il vous plaît ?

    • Bonjour.
      Le genou est en lien avec le fait de devoir conjuguer entre ses désirs personnels et ceux de quelqu’un ou d’autres personnes. On dit que c’est le conflit entre le “je” et le “nous”.
      Il y a toujours une notion de devoir se plier, accepter. Se mettre à genou devant une situation ou une personne. Et se plier est difficile.
      Cela peut être également dans un ressenti de dévalorisation sportive dans une idée de souhaiter être + performant-e.

      En espérant avoir pu vous éclairer davantage, je vous adresse mes meilleures salutations.

    • Bonjour à vous, côté gauche correspond au féminin en soi et en miroir chez l’autre.
      Le genou : je nous : soit je plie, soit je résiste.
      Au choix..
      Exemple : Si dans la vie, j’ai un comportement qui a tendance à me soumettre trop, alors je dois en prendre conscience, et décider, en conscience, de résister : de me positionner, me respecter.
      En demandant à l’univers et en remerciant, on obtient des réponses en étant très attentif aux réponses qui peuvent se manifester des formes inattendues…
      Belle continuation
      Lumineusement
      Marie -Noëlle

  4. Bonjour depuis 7 mois j’ai des tendinites bilatérales aux tendons d’Achille mais surtout à gauche
    malgré le repos les séances de kiné, d ostéopathie et même d’acupuncture, je n arrive pas à les soigner et a ne plus avoir mal . Je suis une personne qui a toujours été active en faisant soit de la marche soit de l aquagym / natation, j adore la nature et la mer.

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