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Décodage de la maladie de Charcot-Marie-Tooth (CMA)

Présentation de la pathologie

Cette pathologie provoque une atteinte des nerfs périphériques reliant la moelle épinière aux nerfs.

Cette atteinte entraîne une faiblesse et une atrophie musculaires touchant en priorité les mains et les pieds et également une baisse de la sensibilité.
Il s’agit d’une neuropathie sensitivomotrice (qui touche les nerfs responsables des sensations et également des mouvements), qui se transmet de manière héréditaire.

C’est une maladie évolutive. Souvent les premiers symptômes apparaissent à l’adolescence, mais ce n’est pas toujours le cas et la pathologie peut survenir aussi dans l’enfance ou à l’âge adulte.

À ne pas confondre avec la maladie de Charcot (SLA), qui est une pathologie neurodégénérative grave, la CMT, elle, n’entame pas l’espérance de vie.

Il existe trois formes de cette maladie :

  • La forme démyélénisante : qui touche la gaine protectrice entourant le nerf (voir le décodage de la sclérose en plaques)
  • La forme axonale : qui touche directement le nerf
  • Et une forme intermédiaire qui atteint la myéline et l’axone.

Comment décoder cette pathologie ?

C’est avant tout une neuropathie.
Les nerfs sont touchés. L’information entre le cerveau et le corps se coupe, se ralentit ou se brouille. C’est une atteinte du câblage électrique humain.
On recherche alors le conflit de vouloir se couper de ce qui commande, pour s’en tirer, pour ne plus subir.

Dans le cas de la CMT, il est question de se couper de ses ressentis (nerfs sensitifs) et ne pas ou plus effectuer un mouvement qui pourrait occasionner des conséquences graves (nerfs moteurs).

La pathologie est marquée par une rétraction tendineuse (le tendon et le muscle se rétractent). Ainsi, c’est littéralement la capacité et la force (le muscle) de mettre à exécution ses projets (le tendon) qui s’amenuisent.

Les mouvements fins deviennent difficiles, comme s’il était trop tard et non-utile de perdre de la force à exécuter des détails.

La pathologie entraîne également de la fatigue et des douleurs, en plus de l’équilibre instable.
La personne n’est donc pas en mesure d’effectuer des déplacements trop conséquents. Elle est contrainte à rester.

Les extrémités (mains et pieds) peuvent se mettre en griffe. Ce mouvement rappelle les postures d’attaque. Il est question de dissuader l’adversaire d’attaquer. La personne se retrouve dans une posture comme si elle était en perpétuelle défense, prête à griffer.
Cette position rappelle également la rigidité cadavérique, qui survient peu après le décès.

En conclusion

Cette maladie peut se déclarer dans des familles après qu’un de leur membre a vécu un danger de mort en raison d’une impuissance à partir, à se déplacer.

Cela peut être aussi suite au traumatisme occasionné par une mort en couches.

C’est une maladie héréditaire. Il faut donc aller chercher le conflit, le traumatisme initial, dans le vécu des ancêtres.

Par exemple, une famille qui a fui son pays après qu’un membre de leur famille a été tué ou menacé de mort. La maladie symbolise l’impossibilité, pour cette personne, d’avoir pu partir avant qu’il ne soit trop tard. Le reste du clan en reste affecté et meurtri et la pathologie continue à se transmettre.

Reconnaître la souffrance et le sacrifice de l’ancêtre concerné tout en se donnant le droit de pouvoir vivre librement, sera un premier pas symbolique pour casser cette transmission.

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Sources pour cet article : 

Dictionnaire des codes biologiques des maladies

https://www.orpha.net/fr/disease/detail/90103#:~:text=Il%20se%20caract%C3%A9rise%20par%20l,du%20d%C3%A9veloppement%20de%20la%20parole).

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