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Définition de la colique néphrétique

Il s’agit d’une douleur violente (même décrite comme atroce) consécutive à une mise sous tension des reins, provoquée par la présence d’un obstacle sur les voies urinaires (calculs rénaux qui migrent vers la vessie, dans la plupart des cas, tumeur, cicatrice suite à une intervention chirurgicale). Cet obstacle engendre une stagnation des liquides dans le rein, qui se distend.

La douleur se localise dans la région lombaire, au bas du dos. Mais peut aussi se manifester sur le flanc. La personne atteinte devient souvent extrêmement agitée car elle ne sait pas quelle position prendre pour se soulager. Raison pour laquelle on appelle également ce symptôme la colique frénétique.

Les autres symptômes sont une envie fréquente d’uriner, du sang dans les urines, des troubles digestifs.

 

Les causes psycho émotionnelles

Le symptôme touche les reins et l’uretère, il convient donc de proposer un décodage de ces deux parties du corps.

Le rein :

Il est question de repères. La personne perd ses repères ou, à l’inverse, aimerait pouvoir changer de repères mais n’y parvient pas.  Elle se sent comme si le sol se dérobait sous ses pieds et se retrouve confrontée au néant. Anéantissement de quelque chose. D’une relation, d’une situation de vie. Ecroulement de l’existence. Comme le réfugié qui a tout perdu pour échapper aux bombardements et qui se retrouve dans un pays totalement inconnu.

Le premier repère est le père. Perte de repères = perte de père ?

Dans le cas du rein, on retrouve également des chocs liés aux liquides : eau, sang, liquide amniotique. Il peut y avoir des mémoires ou des vécus d’hémorragie, de noyade, de perte d’un bébé in utero, par exemple.

L’uretère :

C’est le passage entre le rein et la vessie. L’urine permet l’élimination des déchets. Mais également le marquage du territoire (c.f. décodage de la cystite).

Quand l’uretère est touché il y a un confit lié au fait de marquer ou non son territoire intérieur. Ai-je la sensation que mon seul territoire est en moi ? Ai-je une insécurité me poussant à vouloir retourner dans le ventre maternel ? Suis-je dans l’incapacité à marquer un territoire extérieur ? Il faut absolument que tout reste en moi !

 

En cas de présence de calculs :

On parle du conflit du « Petit Poucet »

Il faut semer des « petits cailloux » pour pouvoir retrouver le chemin jusque chez soi. La personne ne se sent pas dans son territoire. Elle vit chez quelqu’un d’autre et ne peut pas y laisser sa trace, son empreinte. Il faut construire ailleurs (et c’est pourquoi la personne fabrique des cailloux. De la pierre pour bâtir les fondations de sa maison, de son nid).

Le territoire peut également être sexuel, chez la femme. En cristallisant l’urine, elle ne peut plus donner d’indication sur son cycle.

Lors d’une colique néphrétique liée à la présence de calculs qui entravent le passage de l’urine dans l’uretère, le décodage peut être le suivant :

Suite à une perte de mes repères, je ne sais plus qui je suis ni dans quel territoire je pourrais être. Je suis complètement perdu-e, comme le Petit Poucet dans la forêt. Il faut que je sème des cailloux et que je marque mon territoire pour pouvoir me retrouver.

Puisque l’urine reste dans les reins, je dois retenir le liquide (cela peut être également le symbole de l’argent). Je dois retenir ce qui est vital pour moi, mes repères, ou une personne. Le but de tout garder est d’empêcher de laisser partir et de perdre.

La très forte douleur physique que rien ne soulage rappelle à quel point la situation est atrocement douloureuse pour la personne, sur le plan psychique. Et quoi qu’elle fasse, elle ne peut rien y changer.

Que faire ?

Au moment de la colique néphrétique, la personne ne peut guère faire autre chose que tenir le coup et se rendre aux urgences pour être soulagée le plus rapidement possible. Mais par la suite, il est possible d’agir pour éviter une récidive. Il convient de trouver la situation qui a pu déclencher cette colique et rapidement pouvoir retrouver ses repères et sa sécurité. Et n’hésitez pas à vous déplacer avec une petite boussole sur vous. On ne sait jamais… cela pourrait vous éviter de vous perdre…

 

Bibliographie :

Flèche, C. (2012). Décodage biologique des maladies. Le Souffle d’Or.

Asbl Téligaté (2007) Dictionnaire des codes biologiques des maladies. Bruxelles

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3 Responses

  1. Bonjour, si si, il y a quelque chose à faire autre que d’aller aux urgences. Bcp de gens, comme vous, parlent sur bcp de choses sans savoir. Pour info, extraire le jus d’un radis noir et le boire, aussi désagréable que ce soit, le jus va dissoudre les calculs et dans l’heure qui suit, tous les calculs seront dissout.
    Dites plutôt que vous ne savez pas quoi faire dans cette situation et que, ne sachant pas, vous conseiller d’aller aux urgences est plus judicieux que d’affirmer qu’il n’y a rien à faire. J’espère que cette information sera utile et que des personnes en feront l’expérience afin de passer le message au lieu de nourrir la médecine conventionnelle oublieuse du sens des maux et de leur raison d’être.

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